mardi 29 septembre 2009

L'Ile-de-France, entre projets et réalisations

Les classes de Première découvrent ou approfondissent leurs connaissances sur la région en Europe et particulièrement, l'Ile-de-France.

C'est l'occasion de visiter le site officiel du gouvernement "le Grand Pari" de l'agglomération parisienne:
http://www.legrandparis.culture.gouv.fr/
ainsi que les projets des dix cabinets d'architectes retenus:
http://www.lemonde.fr/planete/portfolio/2009/02/20/dix-projets-pour-le-grand-paris_1158391_3244.html

Les élèves de la Première STG se sont plus particulièrement penchés sur la réalisation du nouveau quartier de la ZAC Paris rive gauche vivant déjà à l'heure du développement durable.
La mixité des activités (ministère de la Jeunesse et des Sports, université et écoles, siège social d'une société pharmaceutique, grandes surfaces de biens d'équipement, de sport, galeries d'art...) comme celle des habitants de ce quartier (logements sociaux et privés) témoignent de nouvelles orientations dans la destination des fonctions d'un nouveau quartier parisien proche de sa banlieue.

Les architectes ont réalisé un ensemble tenant compte des nouvelles exigences: les jardins des grands moulins s'autoalimentent en retraitant les eaux de pluies par exemple, ou des jardins suspendus recouvrent des étages ou des façades...
La ville et la région ont organisé un axe de transport en commun sur la Seine avec Voguéo reliant la gare d'Austelitz à la proche banlieue...

Vous pouvez approfondir ces différents points avec le site de l'aménageur la SEMAPA:
http://www.parisrivegauche.com/

samedi 26 septembre 2009

L'Affaire Farewell

Une affaire d'espionnage en fin de guerre froide
à ne pas manquer!!!

Actuellement sur les écrans, cette affaire basée sur des faits réels reprend un épisode de la fin de la guerre froide. L'historien Marc Ferro propose une lecture de l'évènement afin d'en saisir toute la complexité. Vous pouvez la lire sur le site: http://www.commeaucinema.com/notes-de-prod/l-affaire-farewell,99118-note-68740

Vous pouvez également visiter le blog suivant qui vous propose des liens sur des ouvrages liés à cette affaire ainsi qu'un extrait du documentaire d'Arte avec les protagonistes. (Ce blog est celui d'un journaliste.)
http://www.lesinfos.com/nouzille/2009/09/18/les-secrets-de-laffaire-farewell-kgb-dst-et-cia/

jeudi 17 septembre 2009

un concours pour futurs journalistes de Première et Terminale

Voici un prix pour de futurs journalistes: rédigez un article seul à 2 ou 3 dressant le portait d'une personnalité ayant marqué l'année 2009...inscrivez-vous à partir du site en lien.

lundi 7 septembre 2009

Les journées du patrimoine les 19 et 20 septembre 2009!

http://www.paris.fr/portail/Culture/Portal.lut


Le lien indispensable de la mairie pour découvrir les visites franciliennes de ce week-end.

Plus de 6 milliards d'hommes

Voici quelques idées de visites virtuelles dans la population mondiale.

www.populationmondiale.com/

www.ined.fr/

Le Tombeau des Lucioles

Analyse du "Tombeau des Lucioles" de Isao TAKAHATA
(1h29)


Analyse du Tombeau des Lucioles de Isao TAKAHATA
par A.Dullin, professeur au Lycée Racine
  • Japanime (prononcez "animé") ou japanimation

Par ces deux termes sont désignés toutes les productions d'animation japonaises de tout style et de tout genre. Certaines de ces productions sont télévisuelles tandis que d'autres sont projetées en salle comme le grand succès de 2001 Le Voyage de Chihiro de Hayao Miyazaki (qui a depassé les entrées du Titanic). Isao Takahata est née en 1935,diplômé de l'Université de Tokyo en littérature française en 1959, il entre aux studios Töei et travaille avec Yasuji Mori, le pionnier du japanime.

  • Synopsis

Le film sort en France en 1996. Il ne fut pas particulièrement remarqué par le grand public, mais sa diffusion en DVD lui donna une seconde carrière et un ample succès.

C'est l'histoire de deux enfants plongés dans leJapon en guerre, d'une enfance sacrifiée et à la dérive. L'auteur n'oublie jamais de rappeler que le Japon actuel est construit sur ce passé.
Seita, 14 ans, meurt dans l'indifférence générale d'une population meurtrie et au beau milieu d'une gare. Il n'est pas le seul enfant mort ainsi ce matin-là. Le récit débute par la découverte de ce corps qui meurt doucement avec en voix off "la nuit du 21 septembre 1945, je suis mort!".
Tandis que les passants s'indignent de cette morbide présence, les services de nettoyage ramassent mécaniquement le petit cadavre, ils trouvent sur lui une simple boîte de bonbons comme unique souvenir de vie. L'un des agents se dirige vers l'exterieur portant cette unique relique de la vie de l'enfant et la jette avec son contenu. Soudain une petite fille surgit de nulle part et par un flash back, nous conduit un mois plus tôt.
Il n'était pas seul en cette fin d'été 1945, ... il est le frère de Setsuko, 4 ans. Tous deux vivent auprès de laur mère lors des bombardements de la ville de Kobe.Les quartiers residentiels disparaissent sous les bomes incendiaires (bombardements les plus destructeurs avant les deux bombes atomiques). Les familles se séparent pour survivre tandis que les pluies noires recouvrent de cendres les ruines.
La mère des enfants succombe dans l'une des attaques. Elle est découverte agonisante. Seita retrouve sa trace dns une école transformée en centre de tri popur les blessés. LEs vers, le sang et l'inconscence se mêlent pour évoquer la mort qui rôde. Après avoir récupéré ses effets personnels, Seita offre à sa petite soeur la bague de leur maman. en grand frère, il conduiit lapetite Setsuko au travavers de ses jeux d'enfant loin de la ville en feu. Il ne prvient pas à combler l'absence exprimée par les appels répétés de la petite désireuse de retrouver la douceur maternelle.
Les enfants arrivent chez leur tante à la campagne. Celle-ci les accueille sas toute fois comprendre leur situation. Depuis 2 jours Setsuko,en deuil, est incpable de parler, d'apprendre à sa soeur le destin de leur maman. La vie n'est rythmé que par les repas, qui ne sont plus que les uniques instants de vie de cette famille recomposée. Très vite la tante le rejette ne voyant en eux ue des "inutiles". Les enfants décident de fuire et de vivre seuls das la nature hors de la civilisation pour fonder leur foyer ... leur tombeau, dans un abris. La petite fille attribue à chaque partie de cet abri une fonction jouant à la maîtresse de maison. La peur du noir, la nuit les conduisent à capturer des lucioles. Mais au matin, les insectes sont morts et la petite en les enterrant parle du décès de leur mère. Elle est une adulte dans un corps de petite fille! Le jeune garçon puise dans ce nouveau départ la force de continuer, tandis que sa soeur se laisse mourir de chagrin et privée de nourriture.
Le jeune garçon l'incinère et place ses cendres dans cette boîte de bonbons, jadis dernière joie de sa soeur. Seul, sans ressources et dans un monde détruit par la guerre, l'enfant échoue dans la gare...

  • Analyse: quelques pistes
Film de reflexion sur la "brutalisation" des sociétés, le réalisateur cherche à rappeler le passé du Japon. Dans l'épilogue, les lumières d'une ville de la méglopole japonaise scintille dans la nuit comme les lucioles.
Ce film est en grande partie adapté de l'oeuvre autobiographique de Akiyuki Nosaka publié en1967.

Takahaki a glissé des références cinématographiques françaises: Jeux interdits (1952) de René clément dans lequel les enfants imitent les jeux mortels des adultes et qui servit le réalisateur pour les mouvements de la petite Seita à partir du jeu d'acteur de Brigitte Fossey.

A.D





dimanche 6 septembre 2009

Les Temps Modernes

Charles Chaplin a tourné ce film en 1936. Son personnage, Charlot, subit l'Organisation Scientifique du Travail. La journée commence avec la pointeuse, se poursuit avec la chaîne qui impose ses rythmes. Lors de la pose déjeuner, le patron, toujours ouvert à la rentabilité, s'offre la demonstration d'une machine à nourrir les ouvriers rationnellement. Charlot en fait les frais lorsque cette dernière s'emballe. http://www.tagtele.com/videos/voir/18218/
Charles Chaplin dénonce les transformations de vie des ouvriers et de leurs familles en ce contexte de fin de crise de 1929. Il dénonce ainsi l'emprise de la machine et de ses rythmes sur l'ouvrier.
Vous pouvez visionner la séquence suivante: